Des avions de chasse Russes en Crimée
Voilà une annonce qui à coup sûr ne va pas calmer le jeu aux alentours de l’ex-territoire ukrainien. À Moscou il a été décidé de déployer dans les prochaines heures entre dix et vingt chasseurs afin d’assurer la supériorité aérienne au-dessus de la Crimée. Les avions en question sont, selon les annonces officielles, des Sukhoi Su-27 et Su-30. Si les premiers sont surtout connus pour une utilisation de pure chasse les seconds sont des avions beaucoup plus polyvalents. Depuis l’annexion de la Crimée au début de l’année 2014 c’est la première fois que la Russie annonce son intention d’y installer de manière pérenne des chasseurs. C’est sur la base aérienne de Belbek, non loin de Sébastopol, que ces Sukhoi Su-27 et Su-30 seront stationnés. Cette base a déjà accueilli entre mars 2014 et mai 2016 un détachement de six Su-27 ou plus récemment quelques chasseurs-bombardiers Su-24. Ces derniers appartenaient à l’aéronavale russe et étaient spécialisés dans la lutte contre les navires de surface. Les pilotes de Sukhoi Su-27 engagés en Crimée ne sont pas toujours blancs-bleus non plus. Une chose semble sûre : si les Sukhoi Su-27 russes vont sans doute assurer les missions de défense aérienne et d’interception les Su-30 de leur côté auront sûrement d’autres rôles. Sinon on comprendrait difficilement comment l’état-major de la force aérienne justifierait de ne pas avoir envoyé sur zone exclusivement des Su-27 ou un mélange de ces derniers et de MiG-29 plus légers.
↑ « Le mode de décision à l’unanimité alourdit le processus décisionnel. Si la signature d’un MOU multilatéral accroît la cohésion intergouvernementale, elle n’empêche pas les révisions de commandes et l’évolution des spécifications techniques en raison des contraintes budgétaires nationales. ↑ Comment coopérer de façon efficace ? Les exemples Rafale vs Eurofighter, et nEUROn. ↑ Source du Times. ↑ Cellule et moteur du Gripen équipé d’un nouvel avionique et d’un nouveau radar(AESA Radar, IRS&T). ↑ « La Bulgarie cherche à remplacer ses Mig-29 ! ↑ a b c d et e Guillaume Steuer, « L’Eurofighter gagne en polyvalence », Air et Cosmos, no 2144, 24 octobre 2008, p. ↑ « Une semaine dans l’air et le cosmos : Industrie », Air et Cosmos, no 2118, 28 mars 2008, p. ↑ Riccardo Niccoli, « EF2000 MULTIRÖLE AU TOUR DE LA LUFTWAFFE ! », AIR FAN, no 459, décembre 2018-janvier 2019, p. ↑ Typhoon makes history in Libya with first combat mission. Les liens externes doivent être des sites de référence dans le domaine du sujet. Il est souhaitable — si cela présente un intérêt — de citer ces liens comme source et de les enlever du corps de l’article ou de la section « Liens externes ».
Hier quand vous prospectiez la Chine, vous vous intéressiez seulement au marché chinois. Située au nord-est de la Chine, elle est peuplée de 43 millions d’habitants. Le port et la zone de libre-échange de Dalian sont bien connus de tous. Ce qui est moins connu c’est que la capitale de cette région est la ville de Shenyang et que cette région est depuis toujours la base industrielle du pays. 190 entreprises mondiales y sont installées dont Michelin depuis plus de 20 ans, ainsi que le conglomérat automobile Brilliance partenaire de BMW. Brilliance qui vient de signer une JV avec Renault pour produire localement des véhicules . On notera enfin la présence de Carrefour. Le Liaoning dispose d’excellentes infrastructures, dont 7 aéroports, 6 ports (indispensables aussi à l’enclavée Mongolie extérieure ) et 1 500 km de TGV. Cette province industrielle offre aussi 1 700 centres de recherche et 115 établissements d’enseignement supérieur. Malgré ce petit désagrément, une réputation de réussir toutes leurs missions commença à se faire entendre à propos de Tempest et c’est ainsi que commença l’âge d’or de ce groupe de mercenaire. Cette âge d’or permis de rapidement remplir les caisses de l’organisation, refaire une nouvelle jeunesse a leur base d’opération renommé le MSV Black Light et de satisfaire l’égo de Zeckus. En 2199, il y eut un tremplin pour Tempest puisqu’ils décidèrent d’aider Aria pendant le blackout d’Oméga en protégeant l’un des relais de communication de la station, ce qui lui permis de se placer parmi les “amis” d’Aria. De plus, cette accès au relais de communication lui permis d’acquérir un grand nombre d’informations compromettantes sur les grands groupes de mercenaires, permettant de les tenir tranquille. Les deux années suivantes confirma la tendance au groupe, qui augmenta ses effectifs à une trentaine de membres, tous des mercenaires aguerris choisis par soin par le leader, Zeckus.
Mirage 2000-5F SF1-IR : Mirage 2000-5F SF1C avec la double capabilité MICA-EM et MICA-IR. Mirage 2000-5F Vi : en cours de développement chez Dassault Aviation pour l’intégration de la Liaison 16 permettant la transmission de données sécurisées sur le théâtre de guerre entre appareils de l’OTAN . Mirage 2000-5 Mk2 : version polyvalente, dont le RDY dispose de deux nouveaux modes antinavires permettant le tir d’AM39 Exocet, et d’un nouveau système de contre-mesures ICMS Mk III. Cette version est basée sur un nouveau cœur système : l’EMTI développé parThales et de nouvelles visualisations. Mirage 2000-9 : version totalement polyvalente avec radar RDY-2 (15 % de portée supplémentaire comparé au RDY), EMTI (Ensemble Modulaire de Traitement de l’Information), pod de désignation laser, vendue aux Émirats arabes unis. Cette version est capable de missions air-air avec des capacités proches des 2000-5, air-sol avec des missiles Black Shaheen (version export du SCALP) et air-surface avec missiles Exocet, le tout avec ravitaillement en vol. Destiné à remplacer les Mirage III/5 des forces aériennes pakistanaises et les Chengdu J-7 chinois (une copie du MiG-21), le FC-1/JF-17 ne manque pas d’atouts. Doté d’un moteur Klimov RD-93 d’origine russe et pouvant voler à une altitude de 17.000 mètres à la vitesse maximale de Mach 1,6, cet appareil est censé mettre en oeuvre une large variété de munitions. Son intérêt réside dans son prix, estimé entre 13 et 15 millions de dollars. Par le passé, il avait été rapporté que le Nigeria s’intéressait à cet avion de combat. Une rumeur confirmé car, début 2017, Abuja passa une provision d’environ 16 millions de dollars pour l’achat de 3 FC-1/JF-17. D’où les spéculations sur la faiblesse de cette somme. S’agissait-il d’un accompte ou bien correspondait-elle à l’achat d’appareils de seconde main? Ces dernières vont d’ailleurs bientôt recevoir une douzaine d’avions d’attaque légers de type A-29 Super Tucano, après un ultime feu vert donné par l’administration américaine en décembre dernier. Il en coûtera près de 600 millions de dollars à Abuja, une somme qui comprend, outre la livraison de ces avions, le soutien, la formation et la fourniture de milliers de munitions. Quant au FC-1/JF-17, le Nigeria est son second client à l’exportation, le Myanmar (ex-Birmanie) ayant passé une commande portant sur, a priori, 16 exemplaires. A terme, Abuja souhaiterait disposer de 26 unités, afin de pouvoir équiper deux escadrons.
Dès lors, il devint l’avion que toutes les marines voulaient photographier en action. Mais là encore la fragilité de la Russie post-soviétique ne permettait pas aux pilotes de la marine russe d’exhiber, ou même tout simplement de piloter, leurs Su-33 librement. La propagande russe n’hésitait pas à le présenter comme supérieur à tous ses concurrents comme le Boeing F/A-18E et le Rafale M, mais il demeurait invisible, hormis dans quelques rares salons aéronautiques et meetings aériens. Finalement, il apparut réellement aux spécialistes en 2006 lors d’un exercice aéronavale menée par la Russie en mer Baltique où il fut intercepté par une patrouille de chasseurs F-16 Fighting Falcon de l’aviation norvégienne. Deux Sukhoi Su-33 russes furent alors ramenés aux limites de leur espace aérien par les chasseurs scandinaves. Il semble bien qu’actuellement le plus gros concurrent à l’export de cet avion soit à cherche en Russie, avec le Mikoyan MiG-29K, la version embarquée du célèbre biréacteur. Plus petit donc plus aisé à manœuvré sur un pont d’envol, et à l’avionique plus récente le Fulcrum lui a été préféré par les Indiens. Même s’il semble très moderne le Sukhoi Su-33 est loin d’être la version la plus réussie des Flanker. En effet son avionique est généralement considérée comme à la limite de l’obsolescence.
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